Compte rendu du IIIème Meeting à Dijon

[RaphiGaz]

Voici le texte traduit de notre Ami FalColflyer


Comme certains d'entre vous me connaissent peut-être, j’ai passé du temps à travailler à Monaco et c’ était pendant ce temps que j’ ai acquis mon premier MV Agusta - un F4 750 EV03. Après plusieurs mois de roulage essentiellement en solitaire sur des routes fantastiques de la Côte d'Azur, je tenais à exprimer ma satisfaction et partager l'expérience avec vous (les membres du club Anglais NDLR). J'ai trouvé le MV Club de France et contacté leur Président Raphaël, un motard enthousiaste qui participe aux séries Classic où il monte une de ses MV. Finalement, nous nous sommes rencontrés au circuit Paul Ricard en Avril 2012 et avec en toute amitié j’ai rejoint le Club.
J'ai appris qu'il y avait un meeting national prévu pour Juin 2012, qui serait basé à Antibes - environ 40 km de l'endroit où je vivais. Parfait ! En route pour 350 km le samedi dans les épingles à cheveux de la Côte d'Azur et encore 150 kms le dimanche dans l'Esterel. C’était une expérience fatigante mais extrêmement agréable et très instructive. Mes capacités de pilote limitées à ce moment ont été brutalement, Raphaël m’a même affublé du label de "capitain slow". Je suppose et j’ai deviné avant de participer au meeting mais j’ai aussi réalisé que j’avais encore long à apprendre sur les capacités de ma machine et en étendant mes compétences le week-end s’est avéré être une grande expérience.
Malheureusement, en 2013 est arrivé la fin de mon contrat de travail et je suis retourné en Angleterre ne sachant pas si il y aurait jamais une autre chance de rouler avec le Club. Comme il s’est avéré qu'il n'y avait pas de réunion nationale du club de France en 2013, je n’ai rien manqué.

De retour au Royaume-Uni avec ma MV, j’ai maintenu la connexion avec le club et visité le site Web de temps à autre. Lorsque le programme d'événements annuel est paru sur le site au début 2014, j’ai appris le meeting national à Dijon en Juin organisé par Franck et je ai immédiatement ajouté mon nom sur la liste.
Mon plan initial était d'y aller en moto mais un total de 2000 kilomètres en quelques jours une grande partie en solitaire me laissait froid. J’ai commencé à réaliser que l'option de piloter était plus amusante dans mon imagination que dans cette réalité. C’était plus une corvée qu’un plaisir et j’ai même considérer d’annuler ma participation. Les jours passaient... Raphaël mettait la pression pour que chacun s’engage en vue de régler le nombre de participants. Plutôt que d'abandonner complètement sonné et je lui ai expliqué mon dilemme. À ma grande surprise, il m'a dit qu'il ne pouvait trouver une MV pour moi. C’était de la partie belle pour moi.
Donc, à 7 heures le vendredi 20 Juin, j’étais dans ma voiture en route pour le tunnel sous la Manche. A grande vitesse, le voyage en voiture est calme sur l'autoroute française je suis arrivé à l'Hôtel Mercure à Dijon à 16h30. Un appel rapide à mon contact, Franck, et environ à 19h30 j’étais de retour à l'hôtel au guidon de la Brutale 675 tout plein fait et prête à partir le lendemain matin. Comme le veut la tradition de cet événement nous sommes tous rencontré pour le repas de bienvenu le vendredi soir et c’était si bon de voir quelques visages familiers de 2012.
Samedi matin se leva avec un ciel bleu, du soleil et une légère brise. Quelle journée superbe pour rouler. Au cours de mon séjour dans le Sud de la France j’avais acquis des vêtements de protection légers et bien aérés et un casque alors j’étais heureux et même si la MV voulait chauffer je resterai au frais.
Notre point de rencontre est la Place de la République, à 8h - Un grand espace ouvert dans le centre de Dijon avec une zone à l'extérieur, dans un des cafés qui était assez grande pour rassembler notre groupe. Après avoir partagé café et croissants, il était temps d'y aller. Le centre de Dijon a été rempli avec le bruit des moteurs de 28 MV comme nous faisions direction vers l'ouest. Il y avait quelques petits retards à notre progression en ville où les feux de circulation interrompaient la chaîne des motards mais nous avons été vite hors du labyrinthe urbain et dans la glorieuse campagne française.
Ce est là que le fun a commencé la colonne atteignait bientôt une saine moyenne de 110-140 km/ h sur les routes qui nous a emmenaient le long du canal de Bourgogne, une partie du vaste réseau de rivière de canaux à travers la France. Ce qui était satisfaisant c’était de voir que cette fois, je n’étais pas à la traîne du groupe. En fait, tout au long de la journée, je n’ai jamais été trop loin du groupe de tête de six ou sept coureurs. C’était OK d'autant plus que je roulais sur une machine inconnue mais bien s’adapter à la Brutale n'a pas présenté de problèmes. Comme avec la plupart de la gamme MV il est essentiel de garder ce trois cylindres Brutale dans les tours mais il avait une bonne accélération et c’est une machine très légère et agile. A notre premier arrêt au Château de Châteauneuf il est environ 10 heures, je ne pouvais pas empêcher de me demander ce que les résidents pensaient quand nous sommes entrés dans leur village, en masse, mais personne n’est venu pour se plaindre et nos moteurs étaient coupés dès que nous étions stationnaires. Une chance de se dégourdir les jambes, prendre des photos et de boire un autre Espresso. Comme nous sommes repartis, j’ai remarqué que quelques-uns des résidents avaient finalement décidé de venir jeter un œil curieux.
Pour notre prochaine étape, la direction était d'abord le Nord pendant quelques kilomètres, puis Sud-Ouest pour la D906 qui était notre chemin dans le Morvan. Le Parc National Régional du Morvan est 173 000 hectares de zone protégée de lacs forêts et de terres agricoles traditionnelle dans la Région Bourgogne. Outre le magnifique paysage en passant par nous avons également remarqué la diminution de la qualité du revêtement de la route dans le Morvan. Un des motards a raconté plus tard qu’il était comme "chevauchant un marteau-piqueur" et le groupe n’a ralenti un peu que pour un arrêt carburant du matin, nous fûmes bientôt vers notre rendez-vous du déjeuner à près de Chateau-Chinon,, en plein cœur du Morvan, et grand vignoble. Notre camion d’assistance été là à nous attendre et quelques personnes, des "'initiés" avait mis des vêtements de rechange dans la camionnette et ils furent bientôt des motards déguisés en touristes en quête de soleil. Comme toujours, un excellent déjeuner nous attendait sans précipitation, c’est comme ça la France - et Raphaël profitait de l'occasion pour accueillir tout le monde, nous livrer une tombola et citer et remercier ceux qui avaient fait un long voyage. J’étais le lauréat 

Ce fut tout de même rapidement le temps de partir de notre pause déjeuner et nous avons été également rappelés par un grand panneau routier que Château-Chinon n’est pas seulement un terroir viticole, mais aussi le lieu de naissance de François Mitterrand, l'ex-président français. Maintenant nous nous dirigions vers le sud et, au grand soulagement de tout le monde, nous fûmes bientôt laissons les petites routes derrière nous, notre itinéraire nous a fait sortir du Morvan à notre prochain arrêt carburant dans l’après-midi à Autun, une crème glacé fut très bienvenue.
Un fois nos réservoirs pleins il était temps de rejoindre à notre dernière étape de la journée et la fin traditionnelle à la sortie du premier jour : une visite de courtoisie à un concessionnaire MV. Cette fois, c’était à Chalon-sur –Saône chez Accélère Moto. En plus d’un buffet sympathique et énorme bouteille de champagne de grand nom est arrivé avec une étiquette spéciale commémorant la troisième réunion nationale du MV Agusta Club de France. J’étais assis à l'extérieur, profitant du soleil et de l'air frais et j’ai réalisé que les organisateurs échangeaient leurs machines. Un petit travail de détective a révélé que ma 675 Brutale était en fait l'une des cinq (en fait six) différentes machines de démonstration MV prêtés au club pour le week-end. Elles ont tous été facilement identifiés par les plaques d'immatriculation italiennes. J’avais déjà repéré une F3 800, donc j’ai exprimé mon désir de la piloter à la première occasion.
Après les boissons et les collations, une une fois de plus nous étions de retour sur la route pour la dernière étape vers Dijon. Inévitablement, peut-être, le groupe est devenu plus éclaté sur cette étape et je me trouvais bientôt à rouler seul et finalement arriver à mon hôtel vers 20 heures - 12 heures non-stop de moto, de manger, de boire et de plaisir. Le repas du soir été prévu pour 21h30 environ, mais avec plus de 1100 kilomètres de Voyage dans deux jours, je décidais que le sommeil semblait être une meilleure option et après l'utilisation du service de chambre, je dormais peu après 23 heures.
Je me suis réveillé à environ 7 heures le dimanche matin je me sentais très rafraîchi et étais accueilli par encore plus de soleil. Je me maudis car j’avais oublié d'apporter le programme du week-end avec moi et je ne pouvais pas me rappeler l’heure du rendez-vous. Ainsi, à huit heures, j’étais assis une fois de plus au point de rencontre et je me demandais pourquoi j’étais le seul place de la République. Effectivement, j’étais au bon endroit, mais trop tôt. Puis Raphaël, Franck et quelques autres motards est arrivé vers 08h30 et la réponse à ma question furent les mots "la gueule de bois majeure". Bien sûr, j’étais convenablement sympathique, ou peut-être pas? Six d'entre eux avaient quitté le restaurant la veille quitté l’établissement à la fermeture (légende NDLR). 4 bouteilles de vodka plus tard, ils étaient donc dans la rue à environ 5 heures, puis ont gravité en proximité de l’appartement de Franck. Malheureusement, quelqu'un était très malade et je assez entendu l'histoire pour comprendre une application régulière de matériaux de déodorants et de nettoyage avaient été nécessaires. Je ne pouvais pas imaginer comment ils allaient faire face à notre journée à moto. Je soupçonne que tout alcootest signifierait qu'ils auraient été mis à pieds pour une très longue période de temps. )
Comme c’est souvent le cas, le groupe change d'un jour à l'autre et nous avons perdu certains motards mais nous avons aussi été rejoints par un couple de nouveaux participants pour la journée qui avaient amené leur passagère. Cela a apporté nos numéros jusqu'à 30 (37 en fait) motards pour la ballade du dimanche. Ainsi, après un arrêt de café rapide en plein Dijon, nous sommes mis en route, pour cette fois explorer la campagne au nord de Dijon avant de tourner vers l'ouest puis le sud et notre destination principale Nuits Saint-Georges. Le trajet du dimanche est presque un précurseur du repas du midi. J’étais encore sur la Brutale mais à notre arrêt carburant du matin je me suis approché du motard français qui était sur le F3 800 pour échanger nos machines. Malheureusement, il était l'un de ceux du "groupe de la vodka" et sa réponse tenait plus d'un grognement (un grognement français, bien sûr) et ses yeux rouges exorbités (Vince ?) regardait droit devant moi vers un horizon lointain. Alors je suis parti pensant que c’était un négatif. Non, c’était juste son cerveau qui n’était pas encore au bon régime et quelques minutes plus tard, il revint pour enfin échanger les clés de contact.
J’ai admiré la F3 à partir du moment où je l’ai démarré. Avec une puissance semblable à celle de ma F4 750 et considérablement moins de poids, j’étais convaincu qu’elle me conviendrait. Nous avions encore environ 100 km donc j’avais envie de faire donner cette machine au maximum durant mon essai. La moto été équipé de l’ABS, un shifter et le contrôle de traction. Le trois cylindres MV utilise une poignée fly-by-wire et j’étais conscient des à-coups à basse vitesse lors de la remise des gaz. J’avais remarqué que la Brutale 675 semblait être un peu hésitants mais rien de trop nuisible et la F3 ne semble pas souffrir de cela. Sur la route, la première chose que j’ai remarqué sur la machine c’était de là sentir beaucoup plus légère par rapport à ma F4. C’est 23 kg ou plus de poids de différence qui se ressentent comme 50 kg et elle semblait beaucoup moins lourde du haut. J’aimais déjà. Une fois que nous étions en route et ce sentiment grandissait en moi. La position de conduite semblait un peu moins agressive, moins sportive par rapport à la F4 et elle semblait également plus agile et plus sûr. Sur l'un des quelques virages en épingle que nous avons rencontrés, j’ai même glissé de l’arrière sur du gravier, mais je ne me suis jamais senti en insécurité. Les 125cc par rapport à 675 Brutale semblent beaucoup plus que cela, mais je suppose que c’est la configuration du moteur. Il m'a fallu un peu de temps pour me rappeler que je pouvais changer la boîte de vitesses sans embrayage mais juste le temps de me mettre en selle. Mais – on ne va pas rentrer dans un certain rapport de test ennuyeux. Oubliez toutes les subtilités techniques, les chiffres de performance et plages de régimes; n’oublions pas que nous pilotons nos motos comme on les ressent - et cette moto, je la sentais bien. Si jamais vient le jour ou je veux changer, mon choix est déjà fait.

Enfin de matinée, nous suivions la D25 qui serpente le long de la rivière Le Meuzin vers Nuit-St. Georges et à environ 2 km de la ville, nous nous sommes retrouvés en passant le long d’un champ de maïs jaune fabuleux qui semblait directement issue du guide touristique local. J’ai remarqué que les autres motards quittaient cuirs et casques et je réalisais que c’était notre destination de déjeuner. Nous avons tourné à droite et en bas de la route d'accès asphaltée, noire, avec du maïs jaune vif dans toute sa gloire de chaque côté de nous, des portes s’ouvraient dans ce qui ressemblait à une cour. Cela me faisait penser à une auberge avec des écuries, sauf que ce sont maintenant des chambres d'hôtes. Il était environ 12h30 et nous étions à La Gentilhommière qui je pense pourrait être décrit comme un motel avec les chambres extérieures au bâtiment principal. Eh bien, motel me semble une description insultante par rapport à certains endroits où j’ai séjourné. Nous étions au milieu des champs de maïs jaune, à côté d’une rivière avec une roue à aubes, une piscine et un espace de restauration en plein air fabuleux. Avec le soleil plein été flamboyant c’était un endroit magnifique pour le dernier acte de ce qui avait déjà été un grand week-end.
Nous nous sommes assis sur les tables qui ont été spécialement aménagées pour notre groupe et attend avec intérêt un délicieux déjeuner et un après-midi de détente – c’est ce que je voulais vraiment faire - mais j’ai dû me rappeler que j’avais un horaire. Mon train Eurotunnel était réservé pour 21h50 ce soir-là et il était à environ 400 miles de Dijon à Sangatte. Je l'ai eu dans mon esprit que si je pouvais sortir à quelque part entre 3 et 16 heures je devrais être bien. Eh bien, oublier que pour le moment, tout simplement profiter de la journée. Bien sûr, c‘est la France et bien sûr des boissons et des amuse-bouche ont été livrés après un intervalle de temps interminable. Il était déjà 14 heures quand ils ont finalement servit et j’ai commençais à regretter la décision de rentrer le dimanche. J’ai fait un appel à Eurotunnel pour vérifier les horaires des trains plus tard mais après moi il n'y avait plus de place jusqu’au lendemain matin à 1h45. J’ai donc décidé de garder ma réservation actuelle.
Cet emplacement dimanche midi ressemblait à un endroit que je pourrais avoir besoin de visiter à nouveau à l'avenir, je me promenais dans le bâtiment principal et pris les coordonnées. J’ai aussi trouvé Franck en discussion avec une blonde et une brune mince dans la zone de réception principale. Je crus d'abord qu'il était juste en train d’avoir de la chance et suis retourné à ma table. Puis, un peu plus tard, j’ai remarqué que la F3 que j’avais soigneusement garé manquait. L'idée de vol à cet endroit avec tant de gens autour me semblait impossible mais j’ai marché vers l'aire de stationnement pour et j’ai constaté qu’une sélection de motos avait été déplacé à seulement quelques mètres d'une zone herbeuse où notre photographe mettait en place d'une séance photo avec la blonde mince. Ce n’était pas une coïncidence. La séance avait été pré-arrangé et donc mes pensées d'essayer d’accélérer le repas semblait soudain inutile, et, en tout cas, la blonde mince était couchée sur la machine avec laquelle j’avais roulé environ une heure plus tôt. Donc, il n'y avait rien d'autre à faire, sauf profiter du moment. J’ai pris quelques photos sur mon téléphone comme un souvenir mais je savais que toutes les belles photos seraient sur le site.

Le plat principal est arrivé à juste après 15 heures et le dessert suivi assez rapidement donc, enfin, je me sentais capable de faire mes adieux et monter sur F3 pour le rapide retour à Dijon. Après avoir encore perdu un peu de temps à trouver mon chemin de retour à l'hôtel, j’étais enfin dans ma voiture juste après 17 heures J’avais plus ou moins abandonné tout espoir d'attraper mon train, mais j’espérais que je pourrais au moins arriver à attraper le suivant. Toutefois, il semble mes petits drames allaient continuer. Après environ une heure de voyage je me suis arrêté pour le carburant et recharger mon mobile - pas de temps pour me détendre ou manger – ce qui me mettait la pression. Pendant le ravitaillement, j’ai réalisé que j’avais choisi du 98 au lieu du 95 alors j’ai décidé d’en mettre assez pour me rendre à la gare. Donc, j’ai pris l’option pour la quantité de carburant nécessaire et j’étais en chemin. J’avais donc besoin de me dépêcher. Puis l'erreur de mon arrêt de carburant s’est révélée pleinement. Mon estimation de carburant a été fondée sur le coût du carburant, mais j’ai oublié que le montant était en Euros non Livres. Mon SatNav me disait de me bouger si vous je voulais avoir ce train alors que mon ordinateur bord me disait que si je ne ralentissais pas je manquerais de carburant. Ainsi, je passais le trajet restant à surveiller le carburant restant constamment en fonction de la distance. J’ai pu pousser un soupir de soulagement quand je suis arrivé au check-in à environ 21h30 étant donné que ma carte d'embarquement pour le train était à 22h20. Mais ma situation de carburant était désespérée et je n’avais pas de temps pour faire le plein avant l'embarquement. Assis dans la file d'attente d'embarquement mon ordinateur de carburant a affichait 5 miles de carburant restant. En d'autres termes, des cacahuètes. J’étais mentalement prêt à mettre la voiture sur le train, même s’ils devaient me pousser à la sortie. Je suis sorti du train et à environ 100 mètres il y a une station de carburant en Angleterre, l'ordinateur renonça finalement à essayer de calculer et montrait des pointillés, mais j'ai réussi, peut-être avec seulement quelques dizaines de mètres) 
J’avais quitté ma maison le vendredi matin et j’étais arrivé à la maison à minuit le dimanche après avoir parcouru 1600 km en voiture et environ 500 km en moto. Entre il y avait eu beaucoup de plaisir et de rires, quelques petits drames, des moments de chance, Great Food, Great ride, de beaux paysages, un climat fantastique, deux MV différentes et le glamour féminin.
Comment cela aurait pu être mieux?


RaphiGaz

je viens de lire l'intégralité...ouf
(Je crois que c'était mon vis à vis à table à La Gentilhommière!)

[2xd]

Très beau récit

Falcoflyer

Beau compte rendu, à la lecture que de beaux et bons souvenirs surgissent dans la tete : VroumVroum: trop bien : Love:

J'adore particulèrement l'expression : "groupe de la vodka" je pense qu'ils se reconnaitront

[kefran]

GREAT!!!!

Superbe CR, à part le "Grand Vignoble de Château Chinon", il a confondu avec le Chinon, pas bien grave!!
On s'y croirait...
Merci Falcoflyer!!

[Toxick]

Certains passages énormes quand même

Un vrai passionné notre Falcoflyer

[aldesign]

Super CR, mais ça m'a donné soif toutes ces lignes.

PS: T'es sûr pour 4 bouteilles de vodka

[Master Vince]

Récit de Ouf, là il y a du passionné

Sinon le "Vince" yeux rouges exorbités, c'était pas moi même si les yeux rouges j'avais

[dede]

Très sympathique falcolflyer , j'ai discuté ave lui un petit moment , surtout à larret carburant ,les yeux mixomatose, c'est vrai qu'il y en avait quelque uns ...
Très beau cr :

[Toxick]

Envoyé par Master Vince

Récit de Ouf, là il y a du passionné

Sinon le "Vince" yeux rouges exorbités, c'était pas moi même si les yeux rouges j'avais

Il t'a très bien reconnu, arrête de faire style